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PrÉSentation

  • : classe de saxophones de Brest
  • : la vie, l'actualité, les humeurs de la classe de saxophones de Brest au sein de l'ENM et de la vie musicale Brestoise.
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Concerts à venir

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10 Octobre 2007, 19h00 - salle 15 - Comme vous l'entendez (Gaëtan et Arthur)
21 Octobre 2007, journée - Auditorium : Concours G.Robin
26 Novembre 2007, 20h30 -Auditorium : Audition classe de sax
27 Novembre 2007, 20h30 - Auditorium : concert Orchestre Harmonie 3ème cycle
8 et 9 Decembre 2007, festival de la radio
10 décembre 2007, 20h30 - Auditorium : les temps moderne II
18 janvier 2008, 20h30 - Auditorium : Sillages
11 Février 2008, 18h30 - Audition : concert élèves Sax-Piano du 20ème
12 février 2008, 20h30 - Auditorium : concert piano sax:  I.Poncet, S.Sordet
15 et 16 Mars 2008, journée - Concert & Master Class J.Y.Fourmeau
lundi 17 Mars 2008, 18h30 - Auditorium : Audition classe de sax
1 Avril 2008, 20h30 - Auditorium - Concert Harmonie 3 ème cycle
5 Avril 2008, journée festival des harmonie à Guipavas
12 Avril 2008, 20h30 - Auditorium : concert Quatuor d'anches (Trielen + S.Sordet)
3 Juin 2008, 20h30 - Auditorium : audition fin année classe de sax
 

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5 Octobre 2007, 21h : 7 Black Butterflies - Le Vauban Brest
7 Octobre 2007, 17h : Camel Zekri - la grande boutique  Langonnet
12 Octobre 2007 , 20h30 : Camel Zekri, Assif Tsahar & Cooper Moore - St MArtin des Champs
16 Octobre 2007, 21h : Nu Band - Le Vauban Brest
26 Octobre 2007, 21h : Julien Loureau , La Carene - Brest
12 Novembre 2007, 20h30 : Sillages Ciné-Concert , Quartz-Brest
30 Novembre 2007, 20h30 : Porgy & Bess, Quartz-Brest
12 Janvier 2008, 20h30 : Michel Legrand, Quartz-Brest
4 Avril 2008, 20h30 : Une Trace pour Sillages 2 , Quartz-Brest


Ecouter, Lire, Voir   ! 

au cinéma : "My Blueberry Nights" de Wong Kar-Wai

Livre :  Alain SERRES  "Je serai les yeux de la terre" aux Editions Rue du Monde

à écouter :  Jens Lekman "Night Falls Over Kortedala"

en DVD : "virgine suicide" S.Copolla

En BD : Scott McCloud "Faire de la bande dessinée"

 

 














Archives

14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 18:58

Biographie (juillet 2001)

Tom Johnson est né dans le Colorado en 1939. Il a étudié à l'université de Yale et, en privé, avec Morton Feldman. Après 15 ans à New York, il s'installe à Paris, où il habite depuis 1983.
Tom Johnson est généralement considéré comme un minimaliste, puisqu'il travaille avec du matériel toujours réduit, en procédant toutefois de manière nettement plus logique que la plupart des autres minimalistes, ce qui se traduit par un emploi fréquent de formules, de permutations et de séquences prévisibles.
Tom Johnson est connu surtout pour ses opéras. Depuis 25 ans on présente regulièrement L'Opéra de quatre notes. Riemannoper (1988) a été mis en scène plus de 20 fois depuis sa création à Brême en 1988. Parmi ses oeuvres non-opératiques, qui sont jouées souvent, on peut compter les Histoires à dormir debout, les Rational Melodies, La Musique et les questions, les Duos à compter, le Tango, Les Vaches de Narayana, et Echec : une pièce très difficille pour contrebasse.

L'uvre la plus importante, le Bonhoeffer Oratorium, pour orchestre, chur, et solistes, avec textes du théologien Dietrich Bonhoeffer, a été créée par l'orchestre et chur de la radio hollandaise à Maastricht en 1996, et a été présenté aussi à Berlin et à New York.
Tom Johnson a également écrit de nombreuses ouvres radiophoniques, telles que J'entends un chur (pièce radiophonique commandée par Radio France pour le prix Italia en 1993), Music and Questions (diffusé aussi comme CD par le Australian Broadcasting Company), et Die Melodiemaschinen commandé par WDR Köln, qui l'a diffusée en Janvier 1996.
Les enregistrements principaux disponibles aujourd'hui sont les CDs Musique pour 88 (XI,1992), Rational Melodies (Hat Art, 1993), et le Chord Catalogue (XI, 1999)
The Voice of New Music, une anthologie d'articles écris pour le Village Voice (1972-1982) a été publié par Apollohuis.
Self-Similar Melodies, un texte théorique en anglais a été édité en 1996 par les Editions 75.

Johnson a reçu le prix des Victoires de la musique 2000 pour "Kientzy Loops".

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12 janvier 2007 5 12 /01 /janvier /2007 14:54

Bernard Van Beurden

Ce compositeur originaire des Pays Bas est né en 1933. il a composé de nombreuses pièces solistes, des pièces pour orchestres, choeur, et musique de chambre. Il a aussi composé des plusieurs pièces pour orchestres d'harmonie.

Sa musique est éclatante, brillante et virtuose. il utilise à merveille les couleurs des orchestre à vent, et ceci, dans la plus pure tradition des grands compositeur hollandais comme Jan de Haan, jacob de Haan ou encore Jan van der Roost.

le Mardi, 23 janvier, dans l'auditorium de l'ENM, vous aurez l'occasion de découvrir sa musique, et particulièrement le concertino pour saxophone soprano et orchestre d'harmonie composé en 1990, et créé en 1995 à Amsterdam.

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9 janvier 2007 2 09 /01 /janvier /2007 21:20

 Entré dans le monde du jazz dès l'âge de dix-sept ans en se produisant aux cotés de Jean Bonal, Jacques Vidal, Ted Hawke … Stéphane Guillaume n'a eu de cesse depuis une bonne dizaine d'années, de multiplier les rencontres et les collaborations. Parmi elles, citons celles avec Laurent Cugny, Emmanuel Bex, Randy Weston, Dave Liebman, Lucky Peterson, Antoine Hervé, Claude Barthélémy, Maria Schneider, Patrice Caratini, Quincy Jones, Claude Nougaro …Une liste bien entendue non exhaustive!

Aujourd'hui, alors âgé de vingt-neuf ans et enrichi de toutes les musiques qu'il a pu croiser sur son chemin, le saxophoniste français (qui manifeste aussi une belle dextérité sur toute une panoplie d'instruments allant des clarinettes aux flûtes, en passant bien entendu par toute la famille des saxophones) nous présente, et ce à cause d'un emploi du temps ultra chargé, seulement son deuxième album sous son nom. Le premier était sorti il y a déjà douze ans !

En prenant cette fois le temps de mettre son immense talent au service de sa musique, Stéphane Guillaume a composé Soul role comme un puzzle dont les dix pièces qui le constituent s'inspirent fortement des émotions recueillies aux quatre coins de la planète, concert après concert, séance après séance, hasard après hasard …

La direction artistique de Soul role a été confiée à Daniel Yvinec qui est aussi invité à jouer de la basse sur un titre (Formica Léo). Sinon à défaut de s'entourer d'un All-Stars qui n'aurait certainement pas servi le répertoire, Stéphane Guillaume s'est " gentiment " contenté de quelques complices avec lesquels il a développé une musique personnelle, singulière, construite, exigeante mais inspirée et prometteuse.

Au fil des plages on apprécie les performances de Claude Egéa au bugle et à la trompette et de David Patrois au vibraphone et marimba. Celles de Frédéric Favarel aux guitares et de Paul-Christian Staïcu au piano et Fender Rhodes ne sont pas moins remarquables. D'autant plus que dans l'ensemble, les musiciens invités sortent souvent de leurs contextes habituels. Quant à la paire rythmique composée de Marc Buronfosse à la contrebasse et d'Antoine Banville à la batterie, elle semble parfaitement de circonstance.

Sept des dix titres présentés sont l'œuvre de Stéphane Guillaume. Coté emprunt A ciel ouvert est signé David Patrois. La ballade qui donne son nom à l'album est une composition de Hein Van de Geyn. Et l'album se termine sur une pièce inspirée par une introduction du regretté Lionel Benhamou.

« Poly-instrumentiste ». Le mot n'est pas très heureux. Dans le jazz, il s'accompagne souvent d'une nuance quelque peu péjorative. Comme si le fait de jouer de plusieurs instruments impliquait que le talent se disperse, se divise ou se dissimule derrière l'abondance. Ou encore qu'il bride l'imagination au profit de la technicité. Rien de tel chez Stéphane Guillaume. Certes, on le sait expert dans le rôle de musicien de pupitre – et à ce titre, il est l'un des plus sollicités de la place de Paris – et sa polyvalence en fait un partenaire de choix, habile à se glisser dans les habits qu'on lui tend, à sortir tel ou tel saxophone de son étui en fonction des attentes de ceux qui font appel à lui.

Pour autant, et c'est évidemment la raison pour laquelle il est aussi demandé, le musicien qu'il est très profondément, depuis un très jeune âge, ne manque pas d'âme. Comme ces musiciens qui hantaient la West Coast , Stéphane Guillaume porte en bandoulière flûtes, saxophones et clarinettes. A leur manière, il en joue en véritable polyglotte comme si la musique, cette langue universelle en constante métamorphose, trouvait à s'exprimer chez lui en différents dialectes, en différentes voix, qui reviennent toujours à la même histoire. Chez Stéphane Guillaume, en effet, les instruments ne se succèdent pas ; ils se combinent, ils se complètent, ils s'épousent. Tramage de sonorités, correspondances de timbres, association de souffles, le répertoire de ce disque est une merveille d'invention. Les alliages (auxquels prennent part les différentes guitares de Frédéric Favarel et les talents de percussionniste d'Antoine Banville) que le saxophoniste tire de ses combinaisons avec lui-même sont surprenants et témoignent de qualités de compositeur qu'on qualifierait volontiers de visionnaires car il en faut, de la clairvoyance et de l'oreille, pour concevoir une musique si riche en couleurs, aux volumes équilibrés et aux lignes claires, quand on l'édifie soi-même, en superposant les voix, en imbriquant les teintes instrumentales.

Pas plus que le précédent ce disque ne fait étalage de virtuosité instrumentale. Au contraire, dans la délicatesse de ses associations, dans la beauté fragile et aérienne qu'elle dessine, la musique reste comme délibérément à l'orée de ce qui pourrait la rendre trop démonstrative. Pas de grand solo exubérant, pas de passage en force, l'univers de Stéphane Guillaume se dévoile dans le cadre d'un groupe dont les membres recherchent un son commun, au sein duquel le moindre frisson mélodique, les détails des arrangements et la finesse de l'écriture deviennent immédiatement perceptibles. Les interventions particulière de chacun y gagnent en présence et en intensité, le solo n'apparaissant pas comme une occasion de briller mais bien comme un élément libre d'une architecture conçue avec soin. Alors, oui, de la musique recueillie sur cet album on peut dire qu'elle a trouvé ses murs – intra-muros, comme dit Stéphane Guillaume – car jamais on ne la sent manquer de fondation ni souffrir d'un quelconque vice de construction. Le maître d'œuvre a l'art de l'équilibre et de la composition. Elle est bien chez elle, et son seuil n'attend que d'être franchi par des visiteurs aux oreilles sensibles et curieuses.

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9 janvier 2007 2 09 /01 /janvier /2007 21:17

Cette pièce me poursuit….

IN C

Et oui, encore et encore

Mais je ne m’en lasse pas !

La Monte Young : Composition #7 (1960) Terry Riley : In C (1964)

 

 

 

 

 

 

 

Vincent Bouchot, voix /Amélie Berson, flûte /Fabrice Villard, clarinette /Caroline Delume & Didier Aschour, guitares /Seijiro Murayama, percussions /Thierry Madiot, trombone /Pierre-Stéphane Meugé & Stéphane Sordet, saxophones /Eric Chalan, contrebasse

La Monte Young est à la fois le pionnier de la musique minimaliste et son représentant le plus radical. Le temps et l'évolution d'un son sur la durée, son impact sur la perception humaine, constituent autant d'aspects majeurs de son oeuvre.

En 1960, Young programme une première série de concerts dans le loft de Yoko Ono et participe, en 1961, aux soirées organisées par Georges Maciunas dans sa galerie new-yorkaise. L'impulsion est donnée à Fluxus, mouvement fortement influencé par John Cage où les créations s'apparentent à de véritables happenings réunissant différentes pratiques artistiques.

Terry Riley rencontre La Monte Young et intégre le Theatre of Eternal Music en 1959. En 1964, il compose In C. Si La Monte Young est le pionnier de la musique minimaliste, avec "In C" Terry Riley devient le fondateur reconnu de la musique minimaliste répétitive. Selon Terry Riley "tous les interprètes jouent la même partition de 53 motifs à répéter (...). Chaque interprète a la liberté de choisir le nombre de répétitions avant qu'il ne passe au motif suivant. Aucune règle ne fixe le nombre de répétitions".  Jon Gibson et Steve Reich participent à la première en novembre 1964.

Samedi 13 janvier, 20h30 Théâtre Le Proscenium 2 passage du bureau (angle 170 rue de Charonne), Paris 11° Prix des places : 9/14 euros (pour 2 places) réservation (conseillée) : 01.40.09.77.19 / dedalus_series@club-internet.fr

Depuis avril 2006, DEDALUS propose une programmation musicale au Théâtre du Proscenium à Paris. Hors des sentiers battus, ces séries entendent donner une place à une musique expérimentale contemporaine, qui se définit moins comme une esthétique que comme une pratique. #1 : Pascale Criton / #2 : Manifeste - Tenney, Beuger, Lang, Fox, Murayama / #3 : Frederic Rzewski / #4 : Schwitters, Beuger, Villard, Berson, Aschour.

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6 janvier 2007 6 06 /01 /janvier /2007 21:03

Bolero de Ravel, par Karajan, n'oubliez pas le solo de saxophone...

 

 

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2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 14:31

 

 

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2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 14:23

 

2006 est finie, 2007 commence c'est le moment de faire un bilan de 2006.

le bilan de la classe... beaucoup d'arrivées, quelques départs pour études en dehors de la bretagne (bravo Marc), des concerts, des rencontres, des projets...

Pour nous 2006 ce fut :concerts Phil Glass, Terry Riley, un saison autour du Brésil.... une rencontre magique autour du BeBop, Charlie Parker et Peter King en personne, on encore les différents projets quatuor et classe de danse, sax et Choeur vocal... c'est aussi des concerts au musée des beaux arts, avec les classes de piano, de jazz, percussion, trombone ou violoncelle... c'est le mélange Classique/contemporain/jazz...

et puis des nouveaux saxophones pour Thomas, Arthur, Johanna, Léa, Samy, Gaëtan... tous des Selmer... comme par hasard !

bref, pourvu que 2007 soit aussi riche que 2006.... pour l'instant cela semble bien parti !

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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 21:09
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28 décembre 2006 4 28 /12 /décembre /2006 15:06
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27 décembre 2006 3 27 /12 /décembre /2006 18:51

J.B

James Brown...

 

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